Passer au contenu principal

En rafale… (5)


Un homme qui pose des questions cherche la vérité. Une femme qui pose des questions, elle, cherche la chicane. Et comme je (me) pose beaucoup de questions…

Avez-vous déjà vu un Pitbull perdre tous ses moyens et son mordant devant un autre Pitbull beaucoup plus influent ? Non ? Vous avez manqué l’entrevue de Guy A. Lepage à Deux hommes en or ? … Sucker. (Deux hommes en or, deux femmes invisibles)

La liste des personnes les plus influentes au Québec, selon L’actualité : est-ce qu’on est dans la zone paritaire ?

La ministre [Sonia] LeBel dit avoir rencontré les « Courageuses » afin de « mieux comprendre leurs expériences au sein du système de justice », « leurs témoignages nourrissa[ie]nt déjà ses réflexions » … (Pas de question, c’est juste une observation - Au diable votre panier de Noël !)

Pensez-vous que Kevin Spacey va emporter son beau tablier aux imprimés de pères Noël et sa tasse vide en prison ? (Les narcissiques sont définitivement parmi nous.)

Avez-vous entendu parler de la nouvelle mode chez les riches et les parvenus ? Acheter des crédits carbone, tout en continuant de polluer (mais sans culpabilité). Wow… Comme l’autre ti-gars qui ramasse les déchets dans l’océan à coups de milliards de dollars. Un autre génie, vous allez me dire ? … Ça ne vous tente pas de focuser sur les vraies solutions, les boys, i.e. réduire la pollution de façon significative en entamant un virage socio-économique drastique, en plus de nettoyer sa place avant de partir ? (Écoutez les voix - féminines notamment - de la raison dans le reportage à 60 minutes.)

Croyez-vous que la grande Petrowski va commencer à s’emmerder dans une couple de semaines et se remettre spontanément à publier des chroniques ? (Besoin d'aide avec votre blogue, Mme Petrowski ? Fuck Facebook.)

Est-ce parce que c’était écrit, scripté, produit, co-produit et réalisé par un immense Boys Club (en plus du gros ego à M. Fecteau) que le Bye bye 2018 était aussi plate ? … (Tabar… !)

Mais où sont les femmes en charge, capables d’écrire des jokes et des sketchs dans cette société d’État ?!? … On accueillait bien 2019 là, right ? (C’est décourageant sans bon sens.)

Radio-Cadenas, disait Falardeau ? … Pour les femmes qui pensent, certainement.

La mycose des ongles, c’est vraiment un aussi gros fléau que ça au Québec ? (Quelle pub dégoûtante à voir 56 fois en mangeant ta belle beurrée d’beurre de peanut du Nouvel An…)

Infoman est-il devenu, au fil du temps, une autre guidoune-marionnette servant simplement à redorer l’image des politiciens à la fin de l’année ?

C’est juste moi qui pense que l’année 2019 commence ben mal ? … (Chu déjà à boutte.)

Les résolutions, c’est comme la dernière soirée électorale au Québec : ça part fort, pis un quart d’heure plus tard, c’est déjà fini… Non ? Pas chez vous ?

Messages les plus consultés de ce blogue

«Boléro» (2024), l’art de massacrer la danse et la chorégraphe

  Réalisé par Anne Fontaine ( Coco avant Chanel ), le film  Boléro  (2024) porte sur la vie du pianiste et compositeur français Maurice Ravel (Raphaël Personnaz) durant la création de ce qui deviendra son plus grand chef-d’œuvre, le  Boléro , commandé par la danseuse et mécène Ida Rubinstein (Jeanne Balibar). Alors que Ravel connait pourtant un certain succès à l’étranger, il est néanmoins hanté par le doute et en panne d’inspiration.  Les faits entourant la vie de Maurice Ravel ont évidemment été retracés pour la réalisation de ce film biographique, mais, étrangement, aucune recherche ne semble avoir été effectuée pour respecter les faits, les événements et, surtout, la vérité entourant l’œuvre chorégraphique pour laquelle cette œuvre espagnole fut composée et sans laquelle cette musique de Ravel n’aurait jamais vu le jour.  Dans ce film inégal et tout en longueur, la réalisatrice française n’en avait clairement rien à faire ni à cirer de la danse, des fai...

«La Belle au bois dormant», y a-t-il une critique de danse dans la salle ?

«  Sur les planches cette semaine  » …  «  La Belle au bois dormant  est un grand classique et, en cette époque troublée, anxiogène, la beauté des grands classiques fait du bien à l’âme. Particularité de la version que présentent les Grands Ballets à la Place des Arts cette année : c’est un homme (Roddy Doble), puissant, imposant, sarcastique, qui interprète la fée Carabosse, comme l’a voulu la grande danseuse et chorégraphe brésilienne Marcia Haydée » écrit la journaliste Marie Tison, spécialiste en affaires, voyage et plein air dans La Presse .  Qu’est-ce qui est pire ? Une compagnie de ballet qui produit encore des œuvres sexistes et révolues ? Un homme qui joue le rôle d’une femme (fée Carabosse), rôle principal féminin usurpé à une danseuse ? Ou une journaliste qui ne connait absolument rien ni à la danse ni aux œuvres du répertoire classique, incapable du moindre regard ou esprit critique, qui signe constamment des papiers complaisants de s...

Scandale culturel - dossier

S’il s’agissait d’une compagnie minière, on parlerait de contamination des sols, de pollution de l’air et des rivières, d’exploitation des femmes, etc. Mais puisqu’il est question d’une compagnie de ballet, on y voit que du feu, des tutus et d’étincelantes paillettes. Voici l’histoire (inachevée) d’une institution québécoise élitiste et racoleuse qui ravage notre culture, tout en recevant des fonds publics. Bienvenue au pays d’Oz. La mise en scène, ou, les coulisses du sous-financement culturel  Le récit débute peu de temps après le tsunami économique provoqué par les bandits de Wall Street : « … au beau milieu de la récession qui suivit la crise de 2008, Raymond Bachand se fit le promoteur d’une nouvelle "révolution culturelle". Rien de moins! Celle-ci visait le rapport entre le citoyen et l’État et consistait d’abord à habituer le premier – car la culture est beaucoup une question d’habitude – à exiger moins du second pour qu’il développe le réflexe de chercher...

8 mars, voir rouge à Montréal (photos)

Il y avait des femmes, des hommes, des enfants, des chiens. Il y avait des messages, de la rage, des spécialistes de politique américaine. Il y avait des chants, des performances, des costumes pis des pancartes. Il y avait de tout, quoi. Même de l'espoir...  ----- Photos  : Sylvie Marchand, manif 8 mars 2025, devant le Consulat des États-Unis à Montréal. Fil de presse  :  Des chaînes humaines formées à travers le Québec  Pour dénoncer Donald Trump: manifestations à travers le Québec   Des Québécoises réunies contre les politiques de Donald Trump Des chaînes humaines pour défendre les droits des femmes et s'opposer à Trump

Interdire le niqab au Québec

Le ministre de l’Éducation Bernard Drainville veut réviser les règles sur le port de signes religieux dans les écoles . Promettant « d’agir fortement » conjointement avec le ministre de la Laïcité, Jean-François Roberge, le ministre Drainville envisage même d’ élargir l’interdiction du port de signes religieux à d’autres professions . C’est très bien. Mais qu’en est-il du militantisme religieux provenant des étudiants eux-mêmes ?   Laïcité, entrisme religieux et militantisme islamique Légiférer et encadrer les pratiques des enseignants et d’autres professionnels à l’intérieur des établissements d’enseignement est une chose, mais il ne faudrait surtout pas négliger ni ignorer l’autre côté de la médaille de cet entrisme religieux qui gangrène présentement nos écoles et nos institutions laïques, et qui implique directement les élèves et les étudiants. Car il y a bel et bien des étudiants qui font des demandes pour des salles de prière, ou encore qui arborent des vêtements re...