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Messages

Affichage des messages du novembre, 2023

L’annus horribilis caquiste

L’année n’est pas encore terminée mais, à quelques jours seulement de la fin des travaux parlementaires, on peut affirmer sans se tromper que 2023 fut sans contredit l’ annus horribilis du gouvernement caquiste. Après avoir trôné dans les sondages depuis son élection en 2018, la Coalition avenir Québec (CAQ) est en baisse de popularité , et le premier ministre François Legault lui-même en arrache. Disons-le franchement, depuis des mois maintenant, la situation caquiste est particulièrement « di’icile ». Mais que s’est-il passé, ma foi ?  Bonne année 2023 !  L’année avait pourtant bien commencé alors que le parti de M. Legault avait obtenu un « mandat fort », avec 90 députés élus en octobre 2022, lui permettant ainsi de régler des gros dossiers, et même, de réaliser de grandes choses pour le Québec. Or, la débandade de la CAQ a débuté au printemps dernier.  En mars, malgré l’incertitude économique et les avis contraires de nombreux experts, le gouvernement caquiste a décidé d’aller de

La grosse tête brûlée

Lorsque Donald Trump a involontairement quitté la Maison-Blanche, on se disait qu’on aurait enfin la paix. Sous sa gouverne chaotique, houleuse et fort douteuse, s’informer sur la situation américaine relevait du défi, tellement tout était devenu insupportable. Pu capable d’entendre sa voix, encore moins de l’écouter répandre ses conneries, ses âneries, ses vacheries, ses tromperies et autres calomnies typiquement trumpistes. Trop imbuvable. On en faisait de l’urticaire. Après sa défaite électorale, donc, c’était enfin la fin de l’omniprésence du président orange dans le paysage médiatique. Du moins en apparence. Une tête brulée. Un écervelé. Un narcissique fini. Un être malhonnête. Bon débarras. Bye, là. La tête brûlée orange  Au Québec, ces temps-ci, c’est l’ex-députée de Québec solidaire (QS), Catherine Dorion, qui réapparaît dans le paysage, provoquant dans son sillon une montée d’urticaire populaire. On croyait pourtant être débarrassé. Mais non. Là revoilà qui revient à la charge