Il existe peu de documents, malheureusement, sur l’incroyable féministe anarchiste Virginia Bolten (1876-1960). Le moindre écrit évoquant cette femme et son œuvre nous apparaît alors une fête, une véritable réjouissance. Notons au passage que le livre Ni dieu ni patron ni mari (dont il est question dans le journal Le Devoir , 29 jan. 2022) n’est toujours pas disponible à la Grande Bibliothèque, le trésor national des pauvres et des ouvrières... Nous devons donc, pour le moment, nous contenter d’une citation tirée de l’ouvrage : « Il faut, oh ! faux anarchistes que vous êtes, que vous compreniez que notre mission ne se réduit pas à élever vos enfants et à laver votre crasse et que nous aussi avons le droit de nous émanciper et d’être libres de toute forme de tutelle, qu’elle soit sociale, économique ou maritale. » *** De manière très générale, je n’affectionne pas particulièrement la musique country, encore moins les longues barbes hirsutes. Pourtant...
Parce que les Québécoises sont debout, mais à bout - chronique d'une femme à boutte