Lorsque Charles Darwin partit à la découverte du monde et de ses habitants naturels, lors d’un long périple à bord du Beagle dans les années 1830, il remplit de nombreux cahiers et calepins de notes et d’observations les plus diverses. Le brillant naturaliste anglais remarqua entre autres, dans les îles Galapagos, que chez une même espèce d’oiseaux, certains individus avaient pourtant un bec plus long que d’autres. Pourquoi en était-il ainsi ? Parce que les fleurs sur quelques-unes de ces îles où habitaient ces oiseaux, nota Darwin, étaient tubulaires. Ces oiseaux s’adaptèrent donc graduellement à leur environnement, afin de pouvoir puiser le bon nectar. C’est-y pas beau, ce détail de la vie sur, justement, l’intelligence de la vie ? Il en est de même chez les êtres humains. La majorité des individus de notre espèce s’adaptent habituellement au changement comme à leur environnement, lentement, graduellement, silencieusement. Or, UN des problèmes avec les humains – j...
Parce que les Québécoises sont debout, mais à bout - chronique d'une femme à boutte