Je souhaitais vraiment aller au congrès de la CAQ à Drummondville la fin de semaine dernière. Je voulais entendre et voir de près à quoi ça ressemble, des caquistes qui jasent de nationalisme et de fierté québécoise – le thème portant sur « Un Québec fier ! » – loin des enjeux et des priorités qui préoccupent l’ensemble des Québécois. Mais les frais d’inscription de 180$ exigés aux « non-membres et observateurs » ont vite refroidi mes ardeurs. Or, samedi après-midi, j’appris qu’un rassemblement de mon ancien parti avait lieu à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau et que, en plus, c’était gratuit. Youppi. Même si la soirée affichait « complet », j’ai réussi à mettre la main sur un billet. On nous promettait de « belles choses », ce soir-là, question de lancer la campagne électorale : « Lorsque politique et musique se sont rencontrés dans le passé, de belles choses se sont produites. Donnons le coup d'envoi à n...
Parce que les Québécoises sont debout, mais à bout - chronique d'une femme à boutte