Certaines d’entre nous ont résisté, eh oui, malgré l’incessante pression sociale : « Quoi! T’es pas sur Facebook ?! » (scandale), ou encore, « Un jour, t’auras pas l’choix, ça va te prendre un compte Facebook pour vivre en société. » « Pfft! »
Il existait même un groupe « Fuck Facebook » au Québec qui vendait des beaux t-shirts, à une époque qui semble déjà bien lointaine, plusieurs d’entre eux ayant finalement cédé au grand courant international, ou presque.
Mais voilà que ce dérapage des mégadonnées et les interminables excuses récentes du milliardaire Mark Zuckerberg semblent bien vouloir nous donner raison, nous, les soi-disant paranos.
Et avant même que le récent scandale impliquant Cambrigde Analytica n’éclate, on apprenait qu'en 2017 les usagers y passaient de moins en moins de temps et que les jeunes de la tranche 12-17 ans montraient peu d’intérêt pour cette plateforme sociale, se tournant plutôt vers d'autres réseaux sociaux. Cela va de soi, si grand-maman et grand-papa sont sur Facebook, pour ces jeunes, tout ça c’est d’la marde.
Et quand c’est rendu que même le très populaire milliardaire Elon Musk ferme tous ses comptes Facebook, c’est dire que nombreux geeks, techno-nerds et amateurs de la série américaine The Big Bang Theory feront de même dans les jours et semaines à venir. Le début de la fin pour Facebook?
Pour ma part, je persiste et signe, Fuck Facebook.