La course à la chefferie du Parti libéral du Québec (PLQ) débute officiellement le 13 janvier, et les membres du parti, eux, éliront leur nouveau chef lors du Congrès à Québec le 14 juin prochain. Similairement aux femmes du milieu de l’humour qui dénonçaient le phénomène « pas de filles sur le pacing », il faut décrier l’absence de candidates féminines dans cette course à la chefferie du plus vieux parti politique du Québec. Non, Madame, « pas de femmes sur le pacing pour diriger le Parti libéral ». À ce jour, seuls des hommes se disputent la tête du parti rouge. Mais où sont les femmes au Parti libéral ? Le départ de la première femme à la tête du PLQ, Dominique Anglade, fût-il trop brutal ? Ou est-ce le parti libéral qui est devenu trop marginal ? Des oppositions (très) masculines Outre le PLQ, les autres partis de l’opposition, non plus, ne sont pas à l’abri de critiques féministes. Là encore, ce sont des hommes qui dominent le terrain du pouvoir et...
Parce que les Québécoises sont debout, mais à bout - chronique d'une femme à boutte