L’année dernière, j’ai eu « le malheur » de publier un texte intitulé Se radicaliser lentement . Oh boy … Les gens n’ont pas du tout apprécié. Les quelques « abonnés » de ce blogue sont partis en courant… « Bon, ça y est, la bonne femme va prendre les armes pis joindre ISIS ! », ont-ils sûrement pensé. (Les Québécois-es n’aiment pas la chicane, les faiseurs de troubles, les contestataires, les actions directes de protestation, et encore moins lorsque cela vient d’une femme – Une femme qui dérange est forcément dérangée .) Quoiqu’il en soit, la réalité, elle, demeure la même. Qu’importe le « dossier », pour être entendus, va définitivement falloir se radicaliser un tantinet, chers amis, ne serait-ce qu’un brin tout le moins, se rebeller un peu, beaucoup, passionnément, sérieusement, que cela vous chante ou pas. Car l’heure a maintes fois sonné, et à la vitesse que ça avance, cette affaire-là… Le temps est plus que compté. Mais les g...