Sans grande surprise, « Le français perd du terrain dans les commerces à Montréal » : « Des données rendues publiques lundi par l’Office québécois de la langue française (OQLF) démontrent que les clients de la métropole québécoise sont accueillis 71 % du temps en français uniquement, une baisse de 13 points de pourcentage en 13 ans. » Une baisse de 13 points, donc, un recul du français notable, en plus du « Bonjour/ Hi » qui se répand tel un virus dommageable. Mais selon l’Office québécois de la langue française, « [c]ela n’empêche cependant pas les clients d’être servis en français. » Ah non ? Êtes-vous sûrs et certains ? Vous êtes allés où, au juste, pour votre étude ? « Toujours selon l’OQLF, seuls 2,6 % des commerçants visités sur l’île dans le cadre de l’étude n’ont pas pu s’exprimer dans la langue de Molière. Dans 7,3 % des cas, l’usage du français a été "provoqué", c’est-à-dire que l’observateur a dû demander d’être servi en français. Pour 90,1 % des usagers, c’es
La richissime auteure de la célèbre saga Harry Potter, J.K. Rowling, pourrait très bien choisir de se taire et de vivre tranquille dans sa big mansion de multimillionnaire, loin des critiques et des attaques gratuites en ligne. Mais cette femme a le courage de ses idées, est capable de les exprimer intelligemment et de dire tout haut ce que bien des gens pensent tout bas. On ne peut que saluer son courage. L'autre saga En juin 2020, J.K. Rowling a simplement souligné sur les réseaux sociaux qu’il existe bel et bien un mot pour désigner des « personnes qui ont des menstruations » ( people who menstruate ), soit des femmes. Les réactions n’ont pas manqué de fuser, incluant plusieurs illustres acteurs des films Harry Potter qui ont décrié son intervention, la jugeant « anti-trans ». (Lisez un résumé de cette saga ; Décryptage – J. K. Rowling, Daniel Radcliffe, Emma Watson… et le mouvement trans ) La célèbre écrivaine britannique savait pourtant, dès le départ, que toute cette affair